Bernard Lalanne et Charles Haquet (de gauche à droite)
Nous avons mûrement réfléchi.
Devions-nous prendre un pseudonyme ? Trop lâche.
Signer seulement de nos prénoms ? Trop transparent.
Former un anagramme de nos patronymes ? Trop compliqué.
Nous tombons le masque et assumons : tant pis, nos noms seront désormais associés à ces " petits plaisirs honteux " si éloignés des catégories sérieuses où nos amis et relations professionnelles nous avaient rangés.
Journalistes dans la presse économique, nous avions tout simplement envie, dans un contexte morose, de changer de style et de ton. D'amuser les lecteurs en nous amusant nous-mêmes. Et, au passage, lever certains tabous tenaces qui codifient notre vie en société.
Signer seulement de nos prénoms ? Trop transparent.
Former un anagramme de nos patronymes ? Trop compliqué.
Nous tombons le masque et assumons : tant pis, nos noms seront désormais associés à ces " petits plaisirs honteux " si éloignés des catégories sérieuses où nos amis et relations professionnelles nous avaient rangés.
Journalistes dans la presse économique, nous avions tout simplement envie, dans un contexte morose, de changer de style et de ton. D'amuser les lecteurs en nous amusant nous-mêmes. Et, au passage, lever certains tabous tenaces qui codifient notre vie en société.
Nous espérons divertir nos lecteurs, au risque d'en surprendre - voire en choquer* - quelques-uns, mais pas forcément ceux qu'on imagine.
Du Ciel, en tout cas, nous avons reçu la bénédiction : en guise d'imprimatur, un commentaire élogieux sur Radio Notre-Dame.
Du Ciel, en tout cas, nous avons reçu la bénédiction : en guise d'imprimatur, un commentaire élogieux sur Radio Notre-Dame.
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* Ah ! le petit plaisir de « Choquer son prochain » (chapitre III) Cités pour complicité dans la conception de ce blog :
Claire Marzin et Frédéric Jacquet
Claire Marzin et Frédéric Jacquet
